vendredi 30 novembre 2012

Cinéma, littérature et la mode.

Les films de Pedro Almodóvar (qui faisait aussi partie d'un groupe musical avant) nous rappellent les temps qu'on vivait dans la Movida en Espagne. Avec des films comme "Pepi, Luci, y otras chicas del montón" ou "Mujeres al borde de un ataque de nervios", Almodóvar présentait les nouvelles tendances de la mode et de la culture des années 80. Comme Almodovar, aussi Iván Zulueta ou Fernando Trueba reflètent les aspects que le règime franquiste précédent cachait, comme l'homosexualité, la drogue, la prostitution, les soirées, la transsexualité, les passions effrénées ou la sexualité explicite.

La presse authentique de La Movida étaient les fanzines, contenant principalement musicale, mais non exclusive, les médias voulaient réflécher et promouvoir le véritable esprit de la Movida, jusque-là connu sous le nom "el rollo", et a contribué à la création d'une identité commune. Premamá "Prensa Marginal Madrileña"(presse marginale Madrilienne) La Cochu "Laboratorios Colectivos Chueca"(Chueca Laboratoires collective) regroupaient les premières à l'époc: Mmmm ..., MUA, Muasica, Diario Desarraigado, Schmurz, DAPE-DAPE et autres(tous de 1976 à 1978). Après, les choquantes 96 Lágrimas(1980-1982), La Pluma eléctrica(1982), Grátix(1983), Du-Duá(1983)et d'innombrables autres publications, jusqu'à l'apparition des magazines La Luna (1983), ainsi que Madrid Me Mata(1984) par Oscar Mariné, et plus tard, Madriz(1985).

En ce qui concerne la mode, le plus grand exposant de cette période de changement sans doute est Ágata Ruiz de la Prada, de renommée mondiale par ses dessins extravagantes.



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