Apparaissent des nouvelles chaînes musicales comme Radio 2, Radio 3 ou Radio España FM, où se matérialisent groupes comme Alaska y los Pegamoides, Mecano, Nacha Pop, Loquillo y los Trogloditas, Siniestro Total, Hombres G, Radio Futura…
Radio Futura Mecano
Loquillo y los Trogloditas Hombres G
Ailleurs, c'est important l'image de Alaska comme une des figures principales avec Pedro Almodóvar grâce non seulement au groupe ci-dessus, mais aussi d'autres groupes où la chanteur a été dévoilé comme Alaska y Dinarama ou La Bola de Cristal, programme de télévision pour enfants dans lequel elle s'est dévellopée.
Les films de Pedro Almodóvar (qui faisait aussi partie d'un groupe musical avant) nous rappellent les temps qu'on vivait dans la Movida en Espagne. Avec des films comme "Pepi, Luci, y otras chicas del montón" ou "Mujeres al borde de un ataque de nervios", Almodóvar présentait les nouvelles tendances de la mode et de la culture des années 80. Comme Almodovar, aussi Iván Zulueta ou Fernando Trueba reflètent les aspects que le règime franquiste précédent cachait, comme l'homosexualité, la drogue, la prostitution, les soirées, la transsexualité, les passions effrénées ou la sexualité explicite.
La presse authentique de La Movida étaient les fanzines, contenant principalement musicale, mais non exclusive, les médias voulaient réflécher et promouvoir le véritable esprit de la Movida, jusque-là connu sous le nom "el rollo", et a contribué à la création d'une identité commune. Premamá "Prensa Marginal Madrileña"(presse marginale Madrilienne) La Cochu "Laboratorios Colectivos Chueca"(Chueca Laboratoires collective) regroupaient les premières à l'époc: Mmmm ..., MUA, Muasica, Diario Desarraigado, Schmurz, DAPE-DAPE et autres(tous de 1976 à 1978). Après, les choquantes 96 Lágrimas(1980-1982), La Pluma eléctrica(1982), Grátix(1983), Du-Duá(1983)et d'innombrables autres publications, jusqu'à l'apparition des magazines La Luna (1983), ainsi que Madrid Me Mata(1984) par Oscar Mariné, et plus tard, Madriz(1985).
En ce qui concerne la mode, le plus grand exposant de cette période de changement sans doute est Ágata Ruiz de la Prada, de renommée mondiale par ses dessins extravagantes.
Il est reconnu comme le commence de la Movida un event appelé "concert en hommage à Canito" dans la mémoire de Jose Enrique Leal Cano, toux batterie du group Tos (Los Secretos plus tard), décédé à la suite d'un accident de voiture le réveillon du Nouvel An 1979. Dans ce concert, organisé par Onda 2 le 9 Février 1980 à La Escuela de Caminos de Madrid, ils ont joué au concert Tos (déjà mentionnés), Mermelada,
Nacha
Pop, Paraíso, Alaska y los Pegamoides, Trastos, Mario Tenia y los
Solitarios y Los Rebeldes (Los
Bólidos quelque temps plus tard).
Concert de Printemps
Mais peut-être le point culminant de la Movida était le 23 mai 1981, lorsque les étudiants de l'École d'architecture de l'Université Polytechnique de Madrid de Madrid avec Klub ont organisé "Le Concert de Printemps". Plus de 15.000 personnes se sont rassemblées dans cet événement historique, un festival de plus de huit heures auquel ils ont participé dans l'ordre et par tirage au sort Farenheit 451,Alaska
y los Pegamoides, Flash Strato, Los Modelos, Tótem, Rubi
y los Casinos, Mamá, Los Secretos y Nacha Pop.
Arrive à l'Espagne la contre-culture de l'époque des années 60 et 70 en Amérique du Nord et en Europe. Graffiti apparaissent, le punk, glam-rock, techno-pop, new wave, les piercings, le maquillage extravagant, le film se dilate et ouvre de nouvelles frontières, la bande dessinée prend une nouvelle vision ... né à la fin de la journée, une nouvelle société en Espagne. Le développement culturel repose principalement sur l'expansion du socialisme dans la figure d'Enrique Tierno Galvan, maire de Madrid à l'époque, qui a ouvert les portes à la revitalisation des fêtes d'origine traditionnel et l'intégration de la culture des jeunes à des projets municipaux . Les quartiers de Malasaña, Lavapiés et Vallecas devenu à la mode, où les discothèques et ses styles urbaines sont remplis de jeunes.
De plus, le soutien politique pour cette culture alternative avait l'intention à présenter une change radicale entre la nouvelle société démocratie et le franquisme. Cette image d'une Espagne plus ou moins moderne, serait utilisé au niveau international pour lutter contre l'image négative que le pays avait pris pendant la dictature. Dans la soirée, des boissons, de la volonté de vivre, des réunions multiculturelles et les changements d'idées on a crée des grandes chansons et de l'amour en fin. C'était un moment très spécial pour les jeunes qui marchent dans le gang de rue, en boire de la bière et en fumer des cigarettes et beaucoup soient musiciens, peintres, photographes, acteurs ... Bars comme le Rock-Ola ont fait l'histoire dans le monde des lumières de la nuit et du néon.
Il fut un temps à Madrid, dans lequel les jeunes aiment vivre en apporter quelque chose à la vie. Un mouvement culturel émergait illimité et sans précédent en Espagne, était un aller et venir des nouvelles tendances. Il est apparu au cours des premières années de la Transition post-franquiste et jusqu'au fin des années 80, la vie nocturne devenait très active, pas seulement pour les soirées foules, mais aussi à cause d'un intérêt inhabituel dans la culture dite alternative, underground ou contre-culture.
La Movida Madrileña été la réponse des différents groupes culturels d'une Espagne qui sortit d'une dictature et avait besoin d'un nouveau look. C'était le début des 80 et à Madrid on pourrait trouver le germe de la nouvelle culture qui se répandit rapidement dans le reste des capitales espagnoles.
Beaucoup de gens considèrent que La Movida, bien influencé par la culture des jeunes qui s'était développée dans la soirée de villes comme Londres, Manchester et New York, a était un pouvoir unique et personnelle du Madrid des années 80 qui a transformé la société espagnole pour toujours.